• Oradour sur Glane a été détruit pendant la seconde guerre mondiale, le 10 juin 1944. Ce village du Limousin a été le théâtre d'une exécution systématique de la part des Waffen S.S., faisant officiellement 642 victimes. Oradour-sur-Glane a été rayé de la carte, un après-midi de juin, quatre jours après le débarquement en Normandie. Conservé en état de ruine, ce village fantôme reste le témoin d'un crime odieux...

    Situé à une vingtaine de kilomètres au nord ouest de Limoges, le lieu est saisissant. Le village entier a été conservé, les rails du tramway sont encore en place. De nombreuses carcasses de voitures résistent encore à la rouille, tout comme quelques objets domestiques restés dans les maisons.

    Plusieurs sensations s'affrontent lors de la visite. On parcourt un lieu témoin, une preuve matérielle d'un massacre. Pourtant les ruines d'Oradour dégagent encore, le charme d'un village des années 1940, un village de la campagne limousine. La disposition des bâtiments, les façades encore debouts, nous rappellent ce qu'était ce village, et on peut alors s'imaginer l'ambiance qu'il pouvait y avoir.

    Pour le 61ème anniversaire, ce site a été remanié, enrichi. Quasiment toutes les images peuvent être agrandies, et les documents sont plus nombreux. Il se veut être le plus riche possible. Ce site à pour but d'entretenir la mémoire du lieu et du massacre. Oradour-souviens-toi est une devise, ..., plus jamais, et pourtant...

    http://oradoursurglane.free.fr/index2.htm


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  • j'ai délaissée ce blog pendant un moment je m'en excuse, mais j'ai trouvé un autre site interréssant à propose de Oradour sur Glane: http://oradoursurglane.free.fr/

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  • Une rafle de juifs à Paris.

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  • L'événement du 6 juin 1944, le " D Day ", représente l'une des phases clés de la Seconde Guerre mondiale ; décidé lors des rencontres de Casablanca (janvier 1943) et de Québec (août 1943) mais sa mise au point a demandé une longue concertation entre les puissances alliées dont les visées stratégiques n'étaient pas les mêmes et des préparatifs techniques méticuleux.
    Les réserves ont porté non sur la nécessité même d'un débarquement mais sur sa localisation (Méditerranée ou façade atlantique de la France ?), sur la date (1943 ou 1944 ?) et sur les modalités de l'attaque (tout le monde a présent à l'esprit le lourd échec de l'opération Jubilee du 19 août 1942).
    Seuls les Etats-Unis disposent du potentiel industriel susceptible de préparer et d'alimenter une telle opération ; il en découle une suprématie dans l'organisation militaire proprement dite. Le général Eisenhower qui a réussi en novembre 1942 l'opération Torch (débarquement des troupes alliées en Afrique du Nord française) est nommé chef de l'opération Overlord (décembre 1943). Le site finalement retenu est la baie de Seine : ces plages sont moins fortifiées que le reste de la côte et sont facilement isolables si les ponts sur la Seine et la Loire sont détruits par les moyens aériens.

    texte prit sur ce site


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  • Les Frontstalags sont des camps ouverts par les Allemands durant la Seconde Guerre mondiale mais implantés à l'extérieur du Reich ; ils étaient situés essentiellement en France et en Pologne. Ils étaient destinés aux soldats prisonniers issus des colonies françaises. On en dénombre, en avril 1941, 22 sur le territoire occupé qui recueillent environ 69 000 "indigènes": près de 50 000 Nord-Africains, 16 000 Sénégalais, les autres se répartissant selon les engagements (Malgaches, Antillais, Indochinois, etc.). Par le jeu combiné des libérations effectuées pour des raisons diverses (accords politiques, maladies, inaptitude au travail), et en raison des décès et de quelques évasions, le chiffre des prisonniers passe à 44 000 en mars 1942 et à 37 000 en mai 1943. Ces libérations ne concernent cependant ni les anciens combattants de 14-18 ni les pères de famille nombreuse.

    texte prit sur ce site


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